Le salaire n’est malheureusement pas précisé…
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Même avec un super boulot, tout le monde a des moments difficiles qui donnent envie d’envoyer valser son bureau et de partir en courant sans se retourner. Car il faut bien l’admettre, parfois, être un adulte c’est juste nul, et même les afterworks les plus cools entre collègues ne peuvent rien y faire.
Haut les cœurs, il s’avère que le job de vos rêves qui vous permettra de mettre votre gourmandise à profit existe vraiment. Oui, vous avez bien lu, des gens veulent vous payer pour vous gaver de délicieux chocolat à longueur de journée pour avoir votre opinion.
“Reconnaître que les testeurs de chocolat ont un rôle décisif”
L’annonce a été postée sur LinkedIn par Mondalez International, le conglomérat qui possède entre autres Cadbury, Oreo et Belvita. Si vous vous inquiétez déjà pour votre tour de taille, le job n’est probablement pas pour vous. Pour les autres, voici la liste des critères demandés :
- Être capable de goûter des chocolats et des boissons chocolatées pour donner un retour objectif et honnête.
- Pouvoir travailler au sein d’un équipe de panélistes et collaborer pour s’accorder sur les goûts proposés.
- Savoir utiliser un vocabulaire clairement défini pour décrire les produits et identifier ce qui les rend attirants ou non.
- Être cohérent dans les résultats fournis.
- Connaître les obligations et les responsabilités éthiques et légales de l’emploi, ne pas hésiter à faire part de ses interrogations et de ses inquiétudes face à des problèmes qui leurs sont liés, être intègre à tout point de vue.
- Reconnaître que les testeurs de chocolats ont un rôle décisif pour aider Mondelez à perfectionner et à lancer des produits entièrement nouveaux partout dans le monde.
Les accros au chocolat qui pensent être qualifiés seront encore plus heureux d’apprendre qu’il s’agit d’un emploi à mi-temps. Il nécessite d’être disponible 7 heures et demi par semaine, de 12 h 15 à 14 h 45 les mardis, mercredis et jeudis aux bureaux de Mondelez situés à Reading, en Angleterre.
Traduit de l’anglais par Sophie Janinet
