Comment votre profil ADN peut vous aider à choisir votre vin

Comment votre profil ADN peut vous aider à choisir votre vin

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Par Pauline Giacomini

Publié le

Votre profil génétique va vous guider vers la meilleure bouteille.

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Une entreprise américaine s’est lancé le défi de nous aider à choisir du vin grâce à notre ADN. Plus personnalisé, ça risque d’être compliqué à trouver. Les fondateurs de Vinome sont partis d’un constat simple : les gènes affectent le goût et l’odorat, donc les préférences en matière de vin. Alors si l’on comprend mieux nos préférences gustatives, on peut plus facilement s’adapter.

D’après des propos de la fondatrice Sara Riordan, recueillis par Atabula : “Si un gène peut expliquer pourquoi vous aimez ou n’aimez pas les choux de Bruxelles ou la coriandre, pourquoi ne pas utiliser la génétique pour annoncer aux gens quel vin ils sont susceptibles de préférer ?” Dit comme ça, c’est vrai que l’on se demande pourquoi on n’y a pas pensé plus tôt. Ce service pourrait bien nous éviter de futurs moments d’errance dans les rayons de vins des supermarchés.

De “bosquet vivant” à ” très audacieux”

Comme on ne rigole pas avec la science, les employés de Vinome vous envoient directement un kit qui permet de leur transmettre un échantillon de salive et vous invitent à répondre à un questionnaire sur vos goûts alimentaires. Des généticiens et experts en vin combinent ensuite votre ADN avec vos réponses pour révéler votre “Vinome”, une sorte de profil allant de “bosquet vivant” à “très audacieux”. Vous pouvez ensuite accéder à la boutique en ligne pour sélectionner le vin qui correspond au mieux à vos préférences.

Il y aura donc ceux qui seront plus sensibles aux vins évoquant des senteurs d’agrumes ou des notes de fruit de la passion, ce qui indique une préférence générale pour les vins blancs du type Sauvignon ou Viognier. Ceux qui rêvent de se détendre avec un verre de vin tirant sur le café, le chocolat et le poivre seront au contraire orientés vers un rouge de type Gigondas. Bref, on est dans le futur, la science nous dicte ce que l’on doit boire (toujours avec modération, évidemment).