On a cuisiné les premiers légumes de notre potager urbain

On a cuisiné les premiers légumes de notre potager urbain

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Par Robin Panfili

Publié le

On a une bonne nouvelle et une mauvaise nouvelle.

Un mois après la plantation et le lancement officiel de notre carré potager, les légumes et autres plantes aromatiques ne se portent plutôt pas trop mal. On a eu quelques embrouilles avec les chenilles (qui mangeaient nos feuilles) et les grosses chaleurs (qui puisaient notre eau), mais dans l’ensemble, on est vraiment contents du résultat. 

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Avec les premières récoltes (essentiellement du feuillage pour le moment), on a donc réfléchi à quelques petits plats à préparer. Petit état des lieux pour commencer : un trio de basilic (classique, marseillais et pourpre), de la ciboulette, des feuilles de capucine, du chou kale et un concombre “anguria” des Antilles. 

Nouilles soba, labneh et tomates

On a enfin complété ces recettes improvisées avec quelques produits achetés à droite à gauche : des nouilles soba, un labneh fait-maison et une poignée de tomates du marché. 

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Ce qui a marché

Commençons par notre belle capucine. Plutôt que de la servir en fines lamelles, un peu comme du basilic, on a opté pour une huile infusée, parfaite pour accompagner notre labneh maison qui ne demandait qu’à être dégusté. 

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Autre réjouissance : le chou kale. Bien qu’endommagé par les chenilles qui ont élu domicile dans notre carré potager, ses quelques feuilles passées au four nous ont permis d’obtenir une précieuse poudre verte, idéale pour accompagner des nouilles soba froides dans leur eau de tomate.

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Pour faire honneur à notre précieux trio de basilic (basilic classique, marseillais et pourpre), on a joué la sécurité en optant pour une salade de tomates émondées, dopée aux baies roses, au vinaigre et à un trait d’huile d’olive grecque. Valeur sûre.

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Ce qui n’a pas marché 

Sur le papier, notre concombre antillais avait tout pour devenir la vedette de cette première récolte. Il grandissait à vue d’œil et semblait être à point pour être dégusté après un petit bain dans une saumure maison – vinaigre de cidre/sucre. Dans les faits, il a juste anesthésié notre palais pour la demi-journée qui a suivi. 

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Plusieurs hypothèses se sont alors dessinées pour expliquer cette insolente amertume : un légume cueilli trop tôt ou bien une préparation en pickles trop raccourcie. On va enquêter sur la question et, surtout, on va tâcher de laisser les autres concombres mûrir davantage avant de les goûter à nouveau.

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