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Dans un poivron, un coquillage ou une ampoule, les cocktails improbables d’un bar new-yorkais

Dans un poivron, un coquillage ou une ampoule, les cocktails improbables d’un bar new-yorkais

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Par Sirine Azouaoui

Publié le

Le bar ROKC à Harlem sert des préparations liquides, à mi-chemin entre le Japon et les États-Unis, dans des verres pour le moins inhabituels.

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ROKC (pour “ramen, oysters, kitchen or cocktails”) est un bar qui a ouvert il y a quelques mois à New York. Et il a tout de suite fait parler de lui, que ce soit pour l’équipe de barmen réputée qui l’a conçu, pour ses mélanges alléchants ou encore et surtout pour ses contenants. Le bar laisse souvent de côté les verres classiques pour des ampoules, des coquillages, un poivron entier congelé, une coquille d’œuf… Et quand il y a bien un verre, il se trouve dans une grosse tête de mort mexicaine, posée sur de la glace ou en forme d’ananas doré.

ROKC a été ouvert par une bande d’expérimentés du cocktail venus du Japon et installés aux États-Unis depuis des années. Leurs mélanges sont un mix entre inspiration japonaise et inspiration plus fun à l’américaine. Litchis, noix de coco, fruits de la passion et ananas côtoient des produits mexicains comme du mezcal ou du piment, mais aussi des ingrédients plus originaux comme une réduction balsamique de betterave ou encore du gin au thé Earl Grey. ROKC propose aussi un matcha latte au whisky japonais.

L’énorme coquillage est rempli de Bloody Mary twisté au mezcal et à la coriandre.

Le cocktail ampoule s’appelle “Flower” : shōchū (alcool de riz japonais), lavande, sureau, cranberry.

Rhum, fruit de la passion, vanille, ananas, citron vert brûlé.

Le barman fait brûler du “palo santo”, bois sacré de l’Équateur sur son cocktail au mezcal, Saint-Germain, jus de pamplemousse, jus de citron vert, sucre roux. 

Liqueur d’artichaut, scotch, piment mexicain, liqueur amère maison et fumée de cannelle.

Ah, et ils font aussi des ramen qui n’ont l’air pas trop mal.

Une photo publiée par Dahye Kim (@dahyeiam) le